Centre Médical de Pneumologie
Tests de souffle
Grâce à notre laboratoire de physiologie respiratoire, nous offrons une gamme complète de tests de fonction respiratoire, au repos et à l’effort.
Ces tests servent à évaluer le fonctionnement de votre système respiratoire, à valider l’efficacité de certains traitements et à diagnostiquer plusieurs maladies pulmonaires.
Les tests de souffle, comment ça fonctionne?
Important à savoir :
Avant de prendre rendez-vous pour réaliser un test de souffle, vous devez avoir une requête d’un médecin ou une infirmière praticienne spécialisée.
Si vous n’avez pas de requête, nous pouvons vous offrir un rendez-vous avec un pneumologue qui pourra vous évaluer et demander l’examen approprié à votre situation.
Le fonctionnement :
Quelques jours avant l’examen, notre équipe vous contactera pour valider certaines informations et vous donner les directives en lien avec l’examen.
Le jour du test, une inhalothérapeute vous fera passer votre test de souffle.
Puis, un pneumologue interprètera les résultats et produira un rapport qu’il fera parvenir à votre médecin référent. Ce dernier vous présentera les résultats.
Si vous désirez parler du résultat du test avec un pneumologue du Centre médical, nous vous invitons à prendre un rendez-vous pour une consultation.
Tests de souffle au repos
Voici les différents tests de souffle au repos offerts au Centre médical de pneumologie.
Spirométrie pré et post-bronchodilatateurs
Spirométrie pré et post-bronchodilatateurs
Ce test de souffle sommaire sert à mesurer le volume d’air maximal que les poumons peuvent expulser ainsi que le débit expiratoire, c’est-à-dire la vitesse à laquelle vous pouvez expulser l’air de vos poumons.
Pour obtenir le plus d’information possible, nous prenons des mesures avant et après la prise de Salbutamol (Ventolin), un médicament par inhalation qui sert à dilater les bronches.
Ce test permet de déceler une obstruction dans les bronches ainsi que certaines autres anomalies. On l’utilise entre autres pour investiguer l’asthme et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC).
Déroulement du test
Après avoir procédé à quelques vérifications, vous avoir pesé et vous avoir mesuré, l’inhalothérapeute vous demandera de placer votre bouche sur un embout de plastique et de mettre un pince-nez. Elle vous demandera ensuite de prendre une grande inspiration, puis de souffler le plus fort et le plus longtemps possible dans l’embout qui est relié à un appareil qu’on nomme spiromètre.
Cette manœuvre sera répétée à plusieurs reprises pour s’assurer de la validité des résultats.
Nous vous administrerons ensuite un dilatateur des bronches par inhalation (Ventolin) avant de répéter la spirométrie.
Durée approximative du test : entre 30 et 45 minutes
Bien se préparer au test
Un membre de l’équipe médicale vous contactera quelques jours avant votre test pour vous donner toutes les informations nécessaires. Voici les principales recommandations à respecter.
Quelques jours avant l’examen :
- Nous pourrions vous demander d’arrêter de prendre certains médicaments. Si c’est le cas, nous vous le préciserons.
Le jour de l’examen, à la maison :
- Éviter de fumer ou de vapoter au moins 1 heure avant.
- Éviter de consommer de l’alcool au moins 8 heures avant.
- Éviter d’effectuer un exercice physique intense au moins 1 heure avant.
- Ne pas être à jeun, mais éviter de prendre un repas copieux au moins 2 heures avant.
- S’habiller confortablement et éviter les vêtements serrés au niveau du thorax.
Apporter son inhalateur (si vous en avez).
Consignes à respecter après le test
Aucune consigne particulière n’est recommandée. Vous pouvez reprendre vos activités normales et recommencer à prendre votre médication respiratoire habituelle.
Effets secondaires
Avant de procéder à l’examen, l’inhalothérapeute s’assurera que vous ne présentez pas de contre-indications à l’examen. Si c’est bien le cas, la spirométrie est un examen qui peut être physiquement demandant, mais très sécuritaire.
La majorité des gens ne ressentent aucun symptôme après le test de spirométrie. Toutefois, les symptômes suivants pourraient se manifester :
- Légers étourdissements;
- Mal de tête temporaire;
- Inconfort respiratoire mineur;
- Légère fatigue.
Bilan respiratoire complet au repos
Bilan respiratoire complet au repos
Ce test de souffle complet est plus précis et détaillé que la spirométrie.
Il comprend plusieurs tests qui permettent de mieux interpréter les résultats de la spirométrie, de caractériser certaines maladies comme l’emphysème et la fibrose pulmonaire (pneumopathie interstitielle) et d’évaluer plus précisément les conséquences d’une maladie sur vos poumons.
Il inclut :
- La spirométrie avant et après Ventolin.
- La mesure du volume d’air dans vos poumons. Les résultats permettent entre autres de savoir si les poumons sont surdistendus (s’étirent trop), si de l’air y demeure coincé ou si les poumons, trop rigides ou petits, ont de la difficulté à s’étirer.
- La capacité de diffusion pulmonaire, à savoir la capacité à transporter l’oxygène que vous respirez jusqu’au sang et la capacité à expulser le CO2 de votre système.
Déroulement du test
L’examen débute par la spirométrie. Après avoir procédé à quelques vérifications, vous avoir pesé et vous avoir mesuré, l’inhalothérapeute vous demandera de placer votre bouche sur un embout de plastique et de mettre un pince-nez. Elle vous demandera ensuite de prendre une grande inspiration, puis de souffler le plus fort et le plus longtemps possible dans l’embout qui est relié à un appareil qu’on nomme spiromètre.
Nous vous administrerons ensuite un dilatateur des bronches par inhalation (Ventolin) avant de répéter la spirométrie.
Puis, l’inhalothérapeute vous installera à l’intérieur d’une cabine de vitre nommée pléthysmographe pour y effectuer certaines manœuvres qui permettront de mesurer le volume d’air dans vos poumons.
Par la suite, le même appareil est utilisé pour mesurer votre capacité de diffusion, c’est-à-dire la capacité de votre système respiratoire à effectuer des échanges de gaz. Pour ce faire, vous allez inspirer un gaz contenant une minuscule quantité de monoxyde de carbone, le retenir pendant quelques secondes et l’expirer par la suite.
Toutes les mesures sont prises plusieurs fois pour en assurer la validité.
Durée approximative du test : entre 45 et 60 minutes
Bien se préparer au test
Un membre de l’équipe médicale vous contactera quelques jours avant votre test pour vous donner toutes les informations nécessaires. Voici les principales recommandations à respecter.
Quelques jours avant l’examen :
- Nous pourrions vous demander d’arrêter de prendre certains médicaments. Si c’est le cas, nous vous le préciserons.
Le jour de l’examen, à la maison :
- Éviter de fumer ou de vapoter au moins 1 heure avant.
- Éviter de consommer de l’alcool au moins 8 heures avant.
- Éviter d’effectuer un exercice physique intense au moins 1 heure avant.
- Ne pas être à jeun, mais éviter de prendre un repas copieux au moins 2 heures avant.
- S’habiller confortablement et éviter les vêtements serrés au niveau du thorax.
- Apporter son inhalateur (si vous en avez).
Consignes à respecter après le test
Aucune consigne particulière n’est recommandée. Vous pouvez reprendre vos activités normales et recommencer à prendre votre médication respiratoire habituelle.
Effets secondaires
Avant de procéder à l’examen, l’inhalothérapeute s’assurera que vous ne présentez pas de contre-indications à l’examen. Si c’est bien le cas, ce bilan respiratoire est un examen qui peut être physiquement demandant, mais très sécuritaire.
La majorité des gens ne ressentent aucun symptôme après le bilan respiratoire complet. Toutefois, les symptômes suivants pourraient se manifester :
- Légers étourdissements;
- Mal de tête temporaire;
- Inconfort respiratoire mineur;
- Légère fatigue.
Test de bronchoprovocation à la méthacholine
Test de bronchoprovocation à la méthacholine
Ce test consiste à faire respirer des concentrations croissantes d’un agent irritant, la méthacholine, afin d’évaluer la quantité de médicament requise pour faire réagir les bronches. Ceci permet de mesurer ce qui s’appelle la réactivité bronchique et d’identifier si vos bronches sont hyperactives. Il sert généralement à investiguer des symptômes d’asthme.
Déroulement du test
Le principe du test est relativement simple. L’inhalothérapeute vous demandera de respirer dans un appareil qui vous livrera une dose précise de méthacholine, puis vous fera passer une spirométrie, un test au cours duquel vous devrez expirer le plus fort et le plus vite possible dans un appareil.
Si vos bronches ne réagissent pas, une dose additionnelle de méthacholine vous sera administrée, avant de répéter la spirométrie. Le test se termine lorsque vos bronches auront réagi ou lorsque la dose maximale de méthacholine aura été donnée.
Au besoin, on vous administrera un bronchodilatateur à la fin du test. Il s’agit d’un médicament qui sert à ouvrir les bronches et à contrer les effets de la méthacholine.
Durée approximative du test : 30 à 60 minutes
Bien se préparer au test
Un membre de l’équipe médicale vous contactera quelques jours avant votre test pour vous donner toutes les informations nécessaires. Voici les principales recommandations à respecter.
Quelques jours avant l’examen :
- Nous pourrions vous demander d’arrêter de prendre certains médicaments. Si c’est le cas, nous vous le préciserons.
Le jour de l’examen, à la maison :
- Éviter de fumer ou de vapoter au moins 1 heure avant.
- Éviter de consommer de l’alcool au moins 8 heures avant.
- Éviter d’effectuer un exercice physique intense au moins 1 heure avant.
- Ne pas être à jeun, mais éviter de prendre un repas copieux au moins 2 heures avant.
- S’habiller confortablement et éviter les vêtements serrés au niveau du thorax.
- Apporter son inhalateur (si vous en avez).
Consignes à respecter après le test
Aucune consigne particulière n’est recommandée. Vous pouvez reprendre vos activités normales et recommencer à prendre votre médication respiratoire habituelle.
Effets secondaires
Avant de procéder à l’examen, l’inhalothérapeute s’assurera que vous ne présentez pas de contre-indications à l’examen. Si c’est bien le cas, la bronchoprovocation à la méthacholine est un examen qui peut être physiquement demandant, mais très sécuritaire.
Il est fréquent de ressentir de légers symptômes après le test de bronchoprovocation à la méthacholine :
- Étourdissements;
- Mal de tête;
- Inconfort thoracique ou difficulté respiratoire;
- Essoufflement;
- Toux;
- Sensation d’oppression du thorax;
- Légère fatigue.
Si vous ressentez un ou plusieurs symptômes, avisez votre inhalothérapeute, car il s’agit d’informations pertinente pour établir un diagnostic précis et fiable.
Ce test mesure la force maximale d’inspiration et d’expiration à l’aide d’un manomètre. Il est réalisé lorsque d’autres tests ont détecté des anomalies qui pourraient s’expliquer par une faiblesse des muscles respiratoires ou dans l’évaluation et le suivi de certaines maladies neuromusculaires. Il contribue notamment à l’évaluation de maladies neuromusculaires dégénératives, comme la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou la dystrophie musculaire.
Déroulement du test
Pour mesurer la force inspiratoire maximale, l’inhalothérapeute vous demandera d’expirer complètement dans l’appareil, avant de prendre une inspiration le plus fort possible. Juste avant l’inspiration, l’inhalothérapeute fermera une valve, ce qui permettra de mesurer la succion (pression négative) que votre inspiration génère. Plus vos muscles inspiratoires sont forts, plus la pression négative que vous créez sera élevée.
La mesure des forces expiratoires se réalise de la même façon, mais après avoir inspiré complètement et en soufflant le plus fort possible.
Bien se préparer au test
Un membre de l’équipe médicale vous contactera quelques jours avant votre test pour vous donner toutes les informations nécessaires. Voici les principales recommandations à respecter.
Avant l’examen, à la maison :
- Éviter de fumer ou de vapoter au moins 1 heure avant.
- Éviter de consommer de l’alcool au moins 8 heures avant.
- Éviter d’effectuer un exercice physique intense au moins 1 heure avant.
- Ne pas être à jeun, mais éviter de prendre un repas copieux au moins 2 heures avant.
- S’habiller confortablement et éviter les vêtements serrés au niveau du thorax.
- Apporter son inhalateur (si vous en avez).
Nous pourrions aussi vous demander d’arrêter de prendre certains médicaments. Si c’est le cas, nous vous le préciserons.
Consignes à respecter après le test
Aucune consigne particulière n’est recommandée. Vous pouvez reprendre vos activités quotidiennes et recommencer à prendre votre médication respiratoire habituelle.
Effets secondaires
La majorité des gens ne ressentent aucun symptôme après la mesure des forces respiratoires. Toutefois, les symptômes suivants pourraient se manifester :
- Légers étourdissements;
- Mal de tête temporaire;
- Inconfort respiratoire mineur;
- Légère fatigue.
Ce test sert à évaluer votre oxygénation en altitude, que ce soit en avion ou une destination située à plus de 2 500 m d’altitude.
Déroulement du test
Vous portez un masque qui est relié à un mélange d’air appauvri en oxygène pour simuler l’air respiré lors d’un voyage en avion dans un vol commercial. Le test se divise en trois phases : des mesures de base à l’air ambiant, puis une phase de surveillance pouvant durer jusqu’à 20 minutes alors que vous respirez le mélange d’air spécialisé, suivie d’une nouvelle prise de mesures.
Selon les résultats et le contexte, il est possible que nous vous demandions d’effectuer certains efforts légers pendant l’épreuve.
Il est également possible que nous vous donnions un supplément d’oxygène pour évaluer la quantité d’oxygène dont vous avez besoin pendant le vol.
Durée approximative du test : 30 à 40 minutes
Votre pneumologue analysera les données recueillies et vous donnera des recommandations afin que vous preniez l’avion ou séjourniez en altitude en toute sécurité.
Bien se préparer au test
Un membre de l’équipe médicale vous contactera quelques jours avant votre test pour vous donner toutes les informations nécessaires. Voici les principales recommandations à respecter.
Avant l’examen, à la maison :
- Sauf avis contraire de son pneumologue, prendre sa médication.
- Éviter d’effectuer un exercice physique intense le jour de l’examen.
- Éviter de fumer ou de vapoter au moins 1 heure avant.
- Ne pas être à jeun, mais éviter de prendre un repas copieux au moins 2 heures avant.
- S’habiller confortablement.
- Apporter son inhalateur (si vous en avez).
Consignes à respecter après le test
Aucune consigne particulière n’est recommandée. Vous pouvez reprendre vos activités quotidiennes.
Effets secondaires
Tout au long de l’examen, nous surveillerons vos symptômes, le niveau d’oxygène dans votre sang et votre rythme cardiaque. Au besoin, l’examen peut être interrompu à tout moment et de l’oxygène pourra vous être administré. Par conséquent, il s’agit d’un examen sécuritaire.
Toutefois, respirer un mélange appauvri en oxygène pourrait mener aux symptômes suivants durant l’épreuve d’hypoxie :
- Étourdissements;
- Mal de tête;
- Difficulté respiratoire;
- Légère fatigue;
- Respiration plus rapide ou plus profonde.
De plus, ce test nécessite l’échantillonnage de sang dans une artère située au niveau de votre poignet. Ceci engendre généralement un inconfort localisé au site de ponction, de même qu’une ecchymose et parfois un saignement léger. Pour votre confort, il est possible d’utiliser un anesthésique local au site de ponction.
Test de souffle à l’effort
Le Centre médical de pneumologie offre un test de souffle à l’effort, soit l’épreuve d’effort à charge croissante, avec mesure notamment de la VO2 maximale.
Épreuve d’effort à charge croissante (VO2 max)
Épreuve d’effort à charge croissante (VO2 max)
Ce test permet une évaluation globale de votre capacité à l’effort qui inclut entre autres les systèmes respiratoire et cardiovasculaire. En mesurant simultanément des données sur la fonction respiratoire, la fonction cardiaque, la tension artérielle et la capacité à l’effort, ce test permet une meilleure compréhension des capacités physiques d’un individu et de ce qui le limite. Il est utilisé entre autres pour mieux comprendre les raisons d’un essoufflement, évaluer de façon objective la capacité physique et la tolérance à l’effort ou préciser le risque associé à certaines interventions comme des chirurgies de résection de cancer du poumon.
Déroulement du test
Après vous avoir installé l’appareil qui comprend plusieurs capteurs et un masque, l’inhalothérapeute vous demandera de pédaler sur un vélo stationnaire contre une résistance croissante. L’objectif est de vous amener graduellement à un effort maximal.
Durée approximative du test : 30 à 45 minutes, dont environ 10 à 15 minutes d’activité physique.
Bien se préparer au test
Un membre de l’équipe médicale vous contactera quelques jours avant votre test pour vous donner toutes les informations nécessaires. Voici les principales recommandations à respecter.
Avant l’examen, à la maison :
- Sauf avis contraire de son pneumologue, prendre sa médication.
- Éviter d’effectuer un exercice physique important dans les 24 heures avant l’examen.
- Éviter de fumer ou de vapoter au moins 8 heures avant.
- Éviter de consommer de l’alcool ou des boissons contenant de la caféine le jour de l’examen.
- Éviter de manger 2 heures avant.
- S’habiller confortablement et porter des espadrilles.
- Apporter son inhalateur (si vous en avez) ainsi que la liste de complète de ses médicaments.
- Éviter de mettre de la crème hydratante pour le corps.
Consignes à respecter après le test
Aucune consigne particulière n’est recommandée. Vous pouvez reprendre vos activités habituelles.
Effets secondaires
Avant de procéder à l’examen, l’inhalothérapeute s’assurera que vous ne présentez pas de contre-indications à l’examen. Si c’est bien le cas, l’épreuve d’effort est considérée très sécuritaire. Afin d’assurer une sécurité maximale lors de l’examen, un médecin désigné sera sur place et disponible à tout moment pour vous prendre en charge en cas d’urgence.
Centre Médical de Pneumologie
Faites connaissance avec votre équipe soignante
Des professionnels de la santé accessibles et consciencieux, qui travaillent pour vous, avec vous.
Consulter au Centre médical de pneumologie, c’est compter sur une équipe multidisciplinaire dévouée et expérimentée qui a une seule priorité : vous offrir des services personnalisés de haute qualité pour prendre soin de votre santé respiratoire.
Mettre mon expertise au profit de mes patients et répondre à tous leurs besoins en santé respiratoire, voilà ce qui m’a motivé à fonder le Centre médical de pneumologie. Toujours à leur écoute, je m’adapte à leur réalité en leur proposant des plans de soins, des investigations et des enseignements personnalisés.
Reconnue pour mon entregent et mon esprit d’équipe, je valorise à la fois des soins de qualité empreints d’humanité et l’optimisation des processus afin d’améliorer en continu la qualité des services offerts.
L'inhalothérapeute est une professionnelle de la santé spécialisée en soins cardiorespiratoires. Grâce à ses connaissances, et sous la supervision médicale de Dr. Hobeika, elle peut effectuer des tests de souffle, des tests de sommeil et des test d'allergie. Elle peut également participer à plusieurs facettes de la prise en charge de patients atteints de problèmes respiratoires.
L'infirmière joue un rôle central dans la collecte de données, l'évaluation et la coordination des soins respiratoires. Son expertise lui permet également d'offrir de l'enseignement et des conseils à nos patients. C'est également elle qui effectue les prises de sang ou autres analyses.